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Channel: une vie de tto
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Mais tu peux me croire dans ce monde à l'envers, je saurai revenir dans ton univeeeeeeeeers

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Vendredi pourri

Tah dah !!! Il est temps de pourrir l'ambiance [plus qu'elle ne l'est déjà ... c'est dire si le challenge est ambitieux mais tu me connais, j'ai de quoi décrocher la mâchoire en quelques notes de musique]. Et comme le vendredi est désormais une ode à la musique toute pourrite, accroche-toi au siège, baisse ta culotte et c'est parti puisque c'est moi qui pilote.

Et cette semaine, on met le cap sur la planète Paul Lederman avec ce groupe ovni de la toute fin des années 80. C'est dans le Haut-Doubs [c'est te dire si l'on pioche dans l'excellence, la crème de la crème ...] que l'on a été chercher les loustics en question qui vont t'en apprendre une belle avec leur titre classé tout de même jusqu'à la septième place du TOP 50 [comme si c'était un critère ...].
Oui, on va t'en apprendre une bien belle, presque aussi révolutionnaire que l'eau mouille ... Musique !

Et bah voilà ... la nuit, y a pas de soleil. Forcément puisque c'est la nuit, parce que sinon, ça s'appelerait le ... jour ! Ivanov réinvente la roue mais pas la syntaxe ...

Les rues de Moscou s'effacent dans le noir, le vent vagabond balaie les trottoirs [la rime riche, ce n'est plus une science, c'est un art]
Les murs des maisons se voûtent sous la pluie, il n'y a plus personne aux stations de taxis [qu'est ce que je disais hein ??? Bon les murs qui se voûtent sous la pluie, faudra m'explique mais comme on est à Moscou, ça doit encore être une histoire de vodka frelatée ...]

Le temps se termine le temps est trop court, il est arrivé déjà le dernier jour [oui oui, les paroles ont été sous-traitées à une classe de CP francophones à Bucarest]
Dans les rues de Moscou s'éteint le dernier soir, l'histoire s'arrête au détour d'une gare [ce suspense intolérable, franchement ... du Hitchcock des grands jours]

Ihra tu ne sais pas que les nuits sans soleil, que je vis loin de toi, sont tristes et pareilles [Irah ... voilà un prénom rigolo qui permet d'envisager plein de jeux de mots comme "Irah, tu faire les courses ?", "Irah ton laveur" ou autres "Irah maya, ouh ouh ouh ramaya !!!" ... bon ok, les russes n'ont pas d'humour]
Irah tu ne sais pas que ce grand couloir froid qui m'éloigne de toi me glace et m'émerveille [on approche de l'oxymore ... si si, on s'en approche mais je te rassure, on n'y arrivera jamais !]

Les rues de Moscou nous laissent dans le noir, le vent vagabond balaie notre histoire [c'est presque du Gérard de Nerval ... si si, un premier brouillon mais c'est presque ça]
Derrière les étoiles le jour va se lever, et je reviendrai pour ne plus te quitter [c'est kromeugnon et un peu cul-cul la praline mais je pense que ça peut encore marcher dans les salons de thé ou au Tango des conneries pareilles ...]

Le temps se termine le temps est trop court, il est arrivé déjà le dernier jour [ah on recycle ... moins d'inspiration, je te rebalance le même couplet ni vu ni connu]
Mais tu peux me croire dans ce monde à l'envers, je saurai revenir dans ton univers [hum hum ... c'est ... à ... dire ??? C'est une image ? Faut se mettre à l'envers pour que tu reviennes dans mon univers ? En gros, c'est une grosse sodomie qui s'annonce quoi !]

Ihra tu ne sais pas que les nuits sans soleil, que je vis loin de toi, sont tristes et pareilles [tristes et pareilles ... comme ces paroles en fait à bien y regarder !]
Irah tu ne sais pas que ce grand couloir froid qui m'éloigne de toi me glace et m'émerveille [comme Alice au pays où on s'émerveille ? Pas la Russie alors ...]

Mais tu peux me croire dans ce monde à l'envers, je saurai revenir dans ton univers [oh bah tiens, ça faisait trois lignes qu'on ne s'était pas pris ce couplet que je t'ai recasé en titre en plus ... Les Ivanov, Ivonpas aller bien loin. D'ailleurs, la dissolution du groupe a eu lieu deux ans après la sortie de ce single. Un hasard ? JE ne crois pas non ...]
Ihra tu ne sais pas que les nuits sans soleil, que je vis loin de toi, sont tristes et pareilles [et oui ma pauv'Lucette ... Ihra, triste, pareil ... toussa toussa]
Irah tu ne sais pas que ce grand couloir froid qui m'éloigne de toi me glace et m'émerveille [bah nous, s'éloigner de cette chanson que tu vas subir toute la journée, ça ça m'émerveille .. du Monde ! Rhooo que c'était bon les Merveilles du Monde hein ???]

Et là tu te demandes comment faire pire la semaine prochaine ? Mais pourquoi ??? Pourquoi tu doutes de moi comme ça ? Le pire c'est que cela me motive ... et je te le confirme : la semaine prochaine, ça va être à rêver !!!

Tto, music breaker de ta journée


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